La mer, depuis ma fenêtre, me manque parfois. Elle n’est pas loin de là où je suis habituellement, la mer, mais ça n’est pas comme s’endormir bercé par ses vagues, et rien ne vaut le café du matin, quand, face à la fenêtre ouverte, l’horizon où l’eau et le ciel se mélangent, l’esprit encore endormi accumule des images pour plus tard.
Photo : Roquebrune-Cap-Martin, mai 2015
Après des années où je l’ai contemplé à Marseille, la mer s’est posée en moi et m’accompagne souvent. Je me reconnais dans tes mots.
J’aurais voulu avoir été moi-même bercée par l’écriture de ce court texte. Avoir utilisé les mêmes mots. La nostalgie y est belle. Réconfortante.
Merci !
my eye goes to the window first and the sea horizon… very dreamy…