LE DÉSENCHANTEMENT (nouvelles — février 2019) : Seize textes, tour à tour noirs ou fantastiques, microfictions ou nouvelles, et toujours la même obsession : comment vit-on aujourd’hui dans un monde aux repaires fluctuants, quand c’est la loi du marché qui régit jusqu’au plus intime ? On se résigne, jusqu’à perdre ce qui nous reste d’humanité.50 NUANCES DE GÉNÉRATEUR (Poésie — février 2017) : 50 nuances de générateur a pour objectif de se réapproprier les mots, de tordre le texte pour y réinjecter de la littérature.Le principe en est simple : 1. générer un fragment aléatoire, en anglais, inspiré du livre 50 nuances de Grey 2. faire traduire le passage en français par Google 3. passer le résultat obtenu dans une machine à cut-up 4. Réécrire le texte 5. Répéter l’opération 50 foisL’ÉTÉ ENTRE DEUX SOMMEILS (Poésie — février 2017) : 253 haïkus sans rime ni raison De juillet 2015 à juillet 2016, j’ai publié chaque jour sur twitter un texte d’inspiration poétique, sous le mot clé #haikuyear. L’ouvrage en reprend 253.L’APPEL DE LONDRES (2015, éditions Publie.net) — L’appel de Londres est à la fois géographique et musical : au prétexte d’une visite de quelques jours, Philippe Castelneau élabore un journal de ses déambulations londoniennes. Mais les villes que l’on arpente sont nappées de souvenirs, et l’écriture se mélange aux récits de l’enfance, de l’adolescence, au saut dans le vide de l’âge adulte. À l’instar d’un certain Docteur bien connu, Philippe Castelneau sonde le temps et l’espace, invoque Dylan Thomas et Sid Vicious, croise Alan Moore et les Beatles, se souvient d’Oscar Wilde et des Smiths. La ville elle-même est une errance : arpenter Londres et c’est Tokyo qu’on revoit, c’est Paris qu’on respire, Manchester qu’on fredonne.