La langue vive s’efface, les couleurs des notes s’affichent en surfaces courbes. Les paroles ne sont plus des ordres. Les sons se mêlent au corps, le cœur suffoque et je cours dans la perspective des mots. Le remords disparait dans la musique de nuit.
Photo : Pic Saint-Loup – janvier 2016
En lisant tes mots, j’essaye de voir une histoire dans ta photographie …
Il n’y a pas de lien direct entre le texte et la photo. Chacun y voit ce qu’il veut. Le brouillard incite à la rêverie, je trouve.
Je me doute mais c’etait un simple exercice 😀
La photographie est tres jolie et c’est peut-être le brouillard qui m’a dirigée vers cette rêverie justement 😀
Ah oui, mais au contraire, il faut laisser aller l’imagination, s’inventer des histoires… Merci de ton passage par ici, Yoshimi.
Magnifique, Philippe… Texte et photo
Merci beaucoup Louise…
Photo qui fait rêver. D’y être.
Et mots qui donnent envie de s’arrêter un peu, d’y faire écho dans l’univers.
Simplement pour les mots, leur beauté, et que vive la langue.
« Comme autant de vibrations qui s’entremêlent. L’espérance n’est pas vaine. Pas plus qu’elle n’est vaine. »
Quelle belle photo du Pic St Loup… j’aime l’ambiance qu’elle dégage ! 🙂