Photo : Exposition Beat Generation, centre Beaubourg, Paris, août 2016.
(Plus sur la machine à rêves imaginée par Brion Gysin et Ian Sommerville : http://tinyurl.com/zglwc9v)
Photo : Exposition Beat Generation, centre Beaubourg, Paris, août 2016.
(Plus sur la machine à rêves imaginée par Brion Gysin et Ian Sommerville : http://tinyurl.com/zglwc9v)
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Dommage que je ne puisse pas aller voir cette exposition, qui m’intéresserait beaucoup.
Par contre, au Festival international de littérature, qui aura lieu à Montréal à la fin du mois, nous pourrons profiter de plusieurs événements qui traceront un trait direct ou indirect avec les Beats. Entre autres : une soirée avec le poète Patrice Desbiens, qui se réclame de la lignée de Jack Kerouac ; une lecture publique par l’auteur québécois Robert Lalonde de textes rédigés en français originalement par Jack Kerouac, extraits du recueil La vie est d’hommage, publié au printemps dernier.
Il faut souligner que certains de ces textes rédigés originalement en français par Kerouac peuvent être considérés comme étant des ébauches préliminaires à la rédaction de On the Road. Selon le chercheur qui a travaillé sur la publication de ces textes, la traduction du titre de cette oeuvre phare du 20è siècle devrait être : Sur le chemin, et non pas Sur la route — chemin, comme dans cheminement. Vu de ce point de vue, c’est une tout autre lecture qu’on devrait faire de l’oeuvre de Jack Kerouac.
Merci Fernan. Je ne connais pas Patrice Desbiens, je vais jeter un oeil à son travail.
La vie est d’hommage n’est pas sorti en France, mais j’ai pu me le procurer, via La librairie du Québec à Paris. C’est intéressant, parfois difficile à lire quand on n’a pas les références québécoises, mais je me suis aperçu qu’il suffisait de lire à voix haute les textes et tout s’éclairait magnifiquement. Et j’aime beaucoup ce concept de chemin/cheminement.
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