Lignes convergentes vers une même préoccupation et quelques idées fixes : la musique, la route, la photographie. Le récit part d’éléments a priori autobiographiques — mais la vérité est, comme le langage, une matière malléable — pour aller vers quelque chose que l’on peut supposer être une fiction.
Grande fierté d’être à nouveau publié dans la revue nerval.fr pour ce texte, à lire ici.
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