
That, right there, is the vital takeaway: having the tapestry of your story fully aligned with the ending. No matter what you want your ending to provide your audience with—meaning, revelation, or something else—it has to work in perfect concert with the everything that’s come before. That’s why something like Lost and its ending doesn’t work; it spent countless hours building and teasing mystery upon mystery upon mystery, only to, in the final hour, abandon those mysteries and claim that the show was all about character. Yes, the show had remarkable characters, but satisfying just that part of the tapestry left so much of the show’s beating heart unfulfilled.* — Michael Moreci
Je fais partie des quelques personnes qui ont aimé Lost de bout en bout, mais Moreci a tout de même raison. Les scénaristes ont trahi l’attente des spectateurs, et créé du ressentiment — ce que tout auteur de fiction se doit d’éviter !
* C’est là le point essentiel à retenir : avoir la tapisserie (le déroulé) de votre histoire entièrement alignée avec la fin. Peu importe ce que vous voulez que votre fin fournisse à votre public — du sens, une révélation ou autre chose —, elle doit fonctionner en parfaite harmonie avec tout ce qui l’a précédée. C’est pourquoi la conclusion de Lost ne fonctionne pas. D’innombrables heures ont été consacrées à construire et empiler mystère sur mystère, pour, au dernier moment, abandonner ces mystères et affirmer que la série était uniquement consacrée aux personnages. Oui, la série mettait en scène des personnages remarquables, mais satisfaire uniquement cet aspect de l’histoire laissait inachevée une partie de ce qui était au cœur du projet.
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