
Dans ces moments-là, évidemment, j’aurais voulu avoir mon SONY avec moi, plutôt que mon smartphone. La photo aurait été meilleure. L’écriture occupe tout mon mental en ce moment, et pourtant je visualise beaucoup de photos lorsque je marche dans les rues, le soir. L’appareil photo, seulement un rectangle dans la main, selon la formule de Sergio Larraín. Parfois, le rectangle s’efface, ne reste que la main. Et l’œil qui cadre. Image enregistrée dans la mémoire vive de mon cerveau, qui viendra peut-être, plus tard, en support d’un texte. Personne ne saura alors qu’il s’agissait d’une photo.
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