Parfois, aux dernières heures du soir, quand le sommeil me fait lâcher mon livre et que je ferme enfin les yeux, les mots tout juste lus viennent à se mélanger, et dans la lumière douce de la lampe japonaise encore allumée, ils m’accompagnent aux portes d’un nouveau rêve, un rêve aux horizons incertains.
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