
Comme nous sommes aujourd’hui. Meurtris. Usés. Rouillés.
L’avenir semblait radieux, pourtant, le monde une promesse.
Et si le monde nous a été livré, nous avons vu son vrai visage. Un monde impitoyable, où on ne retient pas les coups.
Notre jeunesse a passé. Le temps a laissé ses marques. Nos blessures sont nombreuses, profondes, mais nous nous dressons encore. Meurtris, oui. Usés, certes. Sonnés, peut-être, mais prêts à en découdre. Encore debout, et pour l’heure, invaincus.
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