
Un coquelicot samedi devant la maison… Trois avant-hier, cinq aujourd’hui… Petites merveilles de la nature.
J’ai ressorti un vieux buvard de mes carnets d’il y a 30 ans, quand j’écrivais au stylo plume. Il porte en creux l’écho de mes textes d’alors. Il me servira désormais pour éponger mes poèmes noirs, mes blackout poems (je cherche un nom en français, mais je ne trouve rien de satisfaisant. Certains disent Poésie effacée, Poésie caviardée, Poésie par soustraction… Si vous avez des suggestions, n’hésitez pas !)
J’ai marché 9 km lundi. 4,5 km seulement hier et aujourd’hui. Et je n’ai rien écrit depuis deux jours (ce n’est pas vrai, d’ailleurs : des haïkus, mon journal, ces petits blackout poems…). Trop fatigué, peut-être. Envie de me prélasser au soleil, comme mes chats, et de lire des heures…
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