Étiquette : Rilke

  • Walkin’ the dog

    Je sens alors, pourvu que je ne me hâte, que je ne cesserai jamais d’être. Lorsque je suis tombé la première fois sur cette phrase de Rilke, dans mon empressement, j’ai sauté la négation première et j’ai lu « pourvu que je me hâte ». C’est qu’un sentiment d’urgence me poussait alors — il me pousse toujours,…