Demain ce sera fini, j’écrirai des vers libres. (Mathieu Bénézet)
Demain je serai libre. Les yeux clairs tournés vers le ciel, libre comme l’air, comme la poésie, nu comme un vers, invertébré sans métrique, ver de terre, lombric, feu follet, esprit malin, âme en peine, feu de paille ou de Bengale, mais libre, libre, libre !
Si t’avais été devant moi
t’aurais vu un sourire tendre.
Merci, Philippe.
Oh mais, je le devine maintenant ! Merci à toi, Caroline…
Pourquoi demain ?
La vie est un éternel présent, je sais. Un combat perpétuel aussi, souvent contre soi-même. J’aimerai me sentir complètement libre dès aujourd’hui, seulement…
Et j’aimerai pouvoir dire, comme Camus (citation entendue pas plus tard qu’il y a quelques minutes à la radio, il n’y a pas de hasard) : « Je suis comblé avant d’avoir désiré. L’éternité est là et moi je l’espérais ».
J’y travaille avec acharnement.
tous les vers sont libres
Et les poètes, d’écrire !😋