Rappelez-vous, il y a quelques mois, j’avais acheté dans un vide-grenier un Ricoh KR-10 argentique quelque peu cabossé, mais à peu près en état de marche. L’appareil à présent nettoyé, il était plus que temps de rentabiliser mon important investissement (4€ quand même, hein !).
Du coup, j’entrepris d’en parler à mon voisin et ami, le formidable mister C., ancien photographe professionnel à la retraite qui, après avoir inspecté mon appareil avec une moue dubitative, puis s’être assuré de ma motivation, m’ouvrit son coffre aux trésors… Il y avait là, entre autre, un Mamiya, deux Hasselblad datant du début des années 60 et des objectifs en veux-tu en voilà ! Une vraie caverne d’Ali Baba, vous dis-je. Pour finir, il sortit de son emballage un Nikon FE, qu’il me confia pour que je mène à bien mon apprentissage de l’argentique.
Inutile de vous dire que j’ai été très touché de son geste ! L’appareil est magnifique (c’est celui sur la photo), d’une prise en main relativement aisée, et il ne me reste plus qu’à me familiariser avec les réglages pour me lancer (eh oui, là, on shoote en mode manuel, ça ne rigole plus !).
Finalement, hier j’ai pu trouver le temps d’aller m’acheter deux pellicules 36 poses, une noir et blanc (Kodak Tri-X 400 ISO) et une couleur (Kodak Gold 200 ISO).
Alors voilà, maintenant, y’a plus qu’à…
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